2 avril 2008
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08:43
Quand je vois le nom d'Arthur, ce jeune homme aux cheveux ébouriffés et aux semelles de vent, soudain mon esprit s'emballe et s'évade à la pensée de lettres multicolores, de
bourgeois sur la Place de la Gare, d'effarés, fesses à l'air, devant un soupirail, de bateaux ivres... Je vois la Meuse qui sillonne dans une vallée respendissante de verdure. Je vois la ville
qu'il a tant détesté, Charleville. Je vois l'Afrique, j'imagine les trafics d'armes. Je vois la relation houleuse avec Verlaine...
Mais s'il y a une chose que je ne vois pas, c'est bien la mère d'Arthur.
Or, ce livre s'est donné pour mission de nous faire découvrir cette relation mère-fils.
Mais malgré mon attachement à ce poête, malgré mon envie de lire ce livre, il m'est tombé des mains de dépit. Dépit face à cette écriture si complexe. Dépit face à l'obligation de devoir relire deux fois chaque phrases. Dépit de devoir, alors que ça aurait dû être un plaisir, me contraindre à rester concentrée pour ne pas perdre le fil. Dépit car après tant d'efforts tout ce qui est à extraire ce sont deux informations sur le lien mère-fils au milieu d'un chapitre entier se perdant dans des phrases répétitives.
Je ne l'ai pas fini.
Mais s'il y a une chose que je ne vois pas, c'est bien la mère d'Arthur.
Or, ce livre s'est donné pour mission de nous faire découvrir cette relation mère-fils.
Mais malgré mon attachement à ce poête, malgré mon envie de lire ce livre, il m'est tombé des mains de dépit. Dépit face à cette écriture si complexe. Dépit face à l'obligation de devoir relire deux fois chaque phrases. Dépit de devoir, alors que ça aurait dû être un plaisir, me contraindre à rester concentrée pour ne pas perdre le fil. Dépit car après tant d'efforts tout ce qui est à extraire ce sont deux informations sur le lien mère-fils au milieu d'un chapitre entier se perdant dans des phrases répétitives.
Je ne l'ai pas fini.