1 juillet 2007
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14:36
"J'ai commencé dans la vie comme un enfant trouvé par erreur. Volé avec la voiture en fait. J'étais garé sur les clous et, pendant les années qui ont suivi, Mamita, quand je ne finissais pas mon assiette, disait que la fourrière allait venir me chercher."
Aziz Kémal, c'est le nom que les Tziganes qui l'ont adopté lui ont donné. Et sur ses faux papiers, une nationalité marocaine, parce que la nationalité française, c'est plus cher.
La France, Marseille et l'OM sont dans son coeur et dans ses veines. Mais comment faire comprendre cela à l'attaché ministériel qui se débat dans des soucis personnel et qui a été chargé de le reconduire dans son supposé pays d'origine, le Maroc ?
Ce roman commence un peu étrangement en décrivant la société Tzigane, et l'histoire de cet homme. Le style est très vif, ce sont les mots du jeune homme pour une bonne partie. Il dévie ensuite sur cet exil forcé, à petits coups de critique sociale au passage. Aziz raconte son histoire. Ce retour au pays, et l'amitié qui se créée avec l'attaché ministériel. Il finit tout aussi étrangement.
On y passe d'un éclat de rire à des choses sérieuses, voire douloureuses. J'étais sensible ce jour, là. Un livre qui m'a fait mal.
Aziz Kémal, c'est le nom que les Tziganes qui l'ont adopté lui ont donné. Et sur ses faux papiers, une nationalité marocaine, parce que la nationalité française, c'est plus cher.
La France, Marseille et l'OM sont dans son coeur et dans ses veines. Mais comment faire comprendre cela à l'attaché ministériel qui se débat dans des soucis personnel et qui a été chargé de le reconduire dans son supposé pays d'origine, le Maroc ?
Ce roman commence un peu étrangement en décrivant la société Tzigane, et l'histoire de cet homme. Le style est très vif, ce sont les mots du jeune homme pour une bonne partie. Il dévie ensuite sur cet exil forcé, à petits coups de critique sociale au passage. Aziz raconte son histoire. Ce retour au pays, et l'amitié qui se créée avec l'attaché ministériel. Il finit tout aussi étrangement.
On y passe d'un éclat de rire à des choses sérieuses, voire douloureuses. J'étais sensible ce jour, là. Un livre qui m'a fait mal.