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InTheBlob

ce truc est mon blog.. qui l'eut cru!
il contient :
- des trucs et des n'importe-quoi dans la catégorie En Folie,
- des photos et des dessins dans In Plano
- des articles de lecture dans les différents In Folio
- des amusements littéraires dans In Quarto
- des articles sur la musique dans In Octavo
- des recettes de cuisine dans In Douze (parce que midi, c'est l'heure !)
- des articles de cinéma dans In Seize (Neuvième)
- des articles de science et de fiction dans In Dix-Huit (parce que c'est le format suivant)

Voilà, vous êtes prévenus.

Inthepast

18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 07:50

InPlano

 

Panneaux - 2

 

Panneauxb2.JPG

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 07:26

InFolio

SF

Mélanie Fazi – Arlis des Forains

 

 

Mélanie Fazi est surtout connue pour ses traductions d’auteurs de science-fiction anglophones et pour ses nouvelles. Elle a aussi pris sa plume pour composer des romans. Celui-ci s’engage dans l’univers du fantastique.

Arlis est un jeune garçon de 11 ans. Il vit depuis son plus jeune âge avec des forains qui l’ont adopté après qu’il ait été abandonné. C’est Lindy, une ancienne écuyère blessée après être tombée de cheval qui l’élève. Elle est parfois un peu étrange, éclatant en sanglots pour un oui ou un non et semble transporter avec elle un lourd passé. Mais c’est visiblement aussi le cas des autres membres de la troupe qui tous restent assez secrets sur leur passé.

Le passé d’Arlis est aussi en partie une énigme pour lui. Chaque fois qu’il demande, il a une version différente de la manière dont il a été trouvé

La troupe vient d’arriver à Bailey Creek, petit village perdu dans l’Arkansas. Champs de blés à perte de vue, quelques maisons, une église. Arlis se lie vite d’amitié avec Faith, l’une des filles du pasteur Quinlan, qui a à peu près son âge. Cette fillette, par rébellion vis-à-vis de son père cultive volontairement un coté mauvais, volant des bonbons et désobéissant autant qu’elle le peut. C’est ainsi que leurs jeux tournent vite à des séances païennes autour du personnage du « Seigneur des moissons », avec récolte d’offrandes (petits animaux morts) et spiritisme au milieu des champs. Ce qui pourrait être qualifié de malsain, mais cependant anodin, tourne au bizarre quand le spectre de la mère décédée de Faith apparait au milieu des champs.

Les événements qui se déroulent ensuite font progressivement basculer le roman dans le fantastique et le paranormal.

 

J’aimé l’écriture simple, douce et agréable. Je me suis laissé envouter par certaines envolées lyriques, certains passages à l’écriture très belle et poétique. J’ai aimé le coté facétieux des deux singes, la nonchalance de l’ours. J’ai aimé la manière subtile dont les choses évoluent, le basculement progressif dans l’étrange, tout en laissant le lecteur dans le doute, un peu perdu dans la compréhension des phénomènes.

J’ai regretté que les personnages de la troupe restent tous un peu trop flous. A part Lindy et Katrina que j’avais bien identifié, je n’ai pas cessé de mélanger les hommes, peut être trop brièvement définis, pour ensuite n’être désigné que par leur prénom. C’est lequel le cul-de-jatte et celui aux cheveux longs ? J’ai regretté aussi que le fait que ce soient des forains reste plus un détail du récit, qu’un élément principal. Arlis aurait pu être le fils adoptif d’une famille qui venait d’emménager dans le village, ça aurait été pareil. Ca m’a conduit à considérer cet aspect comme un cliché justifiant qu’ils soient marginaux et au passé mystérieux.

J’ai beaucoup moins aimé certaines longueurs du récit, des passages qui ne paraissaient pas utiles ou auraient pu être plus brefs. J’ai détesté la passivité du gamin qui se laisse mener par le bout du nez par la fille, comme le petit Marcel du "Château de ma mère" de Pagnol. Une passivité d’autant plus incompréhensible qu’il a bien conscience que le comportement de Faith n’est pas normal.

Je reste donc charmée par l’écriture, mais frustrée par d’autres aspects du récit.

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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 07:56

EnFolie

SurRoute

Pas pu profiter

 

L'autre jour dans le bus, y'avait un gars qui parlait super fort. Et le drame, c'est que j'ai même pas pu profiter de ce qu'il racontait, j'ai rien compris, il ne parlait pas français.

 

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 07:51

InFolio

Polar

CoinInvité

 

Iceberg - Clive Cussler
Invité : B.



Dans ce roman, Dirk PITT (notre héros qui sent bon) se paye une promenade dans l’Atlantique Nord, là ou l’eau est froide et remplie de glaçons.

Un bateau a été aperçu dans un iceberg (d’où le titre du roman). Il se pourrait que ce soit le LAX, un navire disparu quelque temps auparavant et appartenant à un riche industriel islandais. Voici donc notre Pitt et un scientifique partis pour tenter de percer le secret de ce navire.

Dans ce roman, notre héros apprend que l’eau froide, c’est froid, que l’air froid, c’est froid, que la glace, c’est glissant, que les islandais sont férus de poésie, que tout ce qui brille n’est pas or, et qu’il n’y a pas qu’au Brésil que l’on peut faire des opérations de chirurgie. Ce roman est nominal, on le lit sans prendre beaucoup de plaisir. L’histoire est intéressante, remplie de rebondissements (normale c’est un peu le fond de commerce de Cussler) mais j’ai eu un peu du mal à la fin, quand tous les éléments s’emboîtent avec des explications qui tombent un peu du ciel. J’aime les énigmes, mais quand elles sont tellement capillotractées que seul l’auteur peut les résoudre ça me gêne un peu.

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 07:58

InPlano

 

Panneaux - 1

(gare désaffectée de La Barque - Fuveau)

 

Panneauxb1.JPG

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 07:20

InFolio

SF

 

Rudy Rucker - Maitre de l'espace et du temps


Comment devenir le maître de l’Espace et du temps ? La recette est simple, il suffit de se donner à soi-même l’idée de construire une machine, et la manière de la construire. Mais comment se donner cette idée ? Simplement en voyageant dans le temps et l’espace. Logique, non ? Et bien sûr, il faut pour cela posséder des gluons bleus (voire des rouges et des jaunes) et pleins d’autres bidules dont le nom donne mal à la tête. D’une simplicité enfantine… Et c’est ainsi que Harry Gerber, un inventeur frapadingue, et son pote, Fletcher deviennent les maîtres de l’espace et du temps en utilisant le « blonzeur » qu’ils ont inventé. Et on peut en faire des choses folles, avec de tels pouvoirs. Modifier la réalité à sa guise, revisiter les lois de la physique, résoudre la faim dans le monde et même mettre l’humanité en grand danger.

 

Ca faisait longtemps que je n’avais pas lu un livre de SF aussi n’importe quoi (à part du Pratchett, mais ce n’est pas vraiment le même type de délire). Disons que ça se rapproche un peu de ce qu’a pu faire Douglas Adams dans son guide galactique.

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 07:54

EnFolie

SurRoute

Porshes

 

L'autre jour, en week-end dans une région autre que la mienne, j'ai croisé plein de porshes.

Quelque temps plus tard, en retrant du boulot, j'ai vu trois vieilles voitures en sens inverse.... ça changeait un peu des porshes.

Mais le lendemain, ce sont à nouveau des porshes que j'ai croisé. Faut croire que c'était une saison riche en rencontres de passionnés de voitures. 

 

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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 07:12

InFolio

SF

 

Neal Stephenson – Panique à l’Université

 

La Mégaversité américaine est une gigantesque Université comptant quarante deux mille étudiants et leurs professeurs. Il y a aussi les associations et clubs divers, les syndicats, les administrations, les techniciens de surface (tech de surf), le personnel des cantines… le tout sous le contrôle du Recteur, Septime Sévère Krupp.

Les étudiants vivent sur place dans d’immenses tours, « le Plex », chaque étage de chaque tour constituant une sorte de microcosme avec ses spécificités, ses rites et signes de reconnaissance.

Certains professeurs vivent aussi dans les tours. L’un d’eux, Bud, est l’un des témoins des événements qui vont agiter le Plex. Il y a la normalité, le quotidien : bataille de cantine, débordement de fêtes alcoolisées ou sous stupéfiants, passion de participants à des jeux de rôle ou de scientifiques qui prennent leurs délires un peu trop au sérieux, querelle de colocataires… et j’en passe. La folie s’exprime à tous les étages et Neal Stephenson décrit en condensé  toutes les dérives du monde étudiant…. jusqu’à l’événement de trop.

 

C’est un livre à aborder au calme, sans se laisser désarçonner par le nombre de protagonistes, ni par l’absurdité de certains comportements. C’est aussi un livre qui nécessite d’avoir quelques notions sur la vie universitaire aux USA pour le savourer totalement, même s’il peut se lire sans. Et c’est un livre, si on s’y accroche qui se relève foisonnant de délires, et au final devient difficile à lâcher.

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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 07:35

InDixHuit

Génétique

 

  II - Les voies de modification de l'ADN

Mutations Partie 4 : Recombinaison

 

Quand la recombinaison vient d'une piqûre

 

La recombinaison d’ADN correspond au mélange aléatoire des gènes des deux parents lors de la reproduction. En science fiction, elle permet aussi de modifier des êtres vivants par l’injection d’un virus, de bactéries ou d’un sérum (un terme bien pratique pour ne pas dire ce qu’il y a dedans).

Ainsi, il suffit bien souvent d’un savant fou, d’une piqure, ou d’une morsure par un animal pour faire d’un gars « normal », un monstre ou un super-héros suite à l’injection de quelque chose. A moindre échelle, on pourrait dans notre monde réel (ou dans notre « Matrix » à nous) penser au dopage des sportifs, ou en étant un peu plus cynique aux injections de collagène qui transforment des bouches en deux boursoufflures.

Bref, la science fiction s’en donne là aussi à cœur joie.


De même, le héros de comics « Captain América » était à la base un simple gars, Steve Rogers, qui voulait faire la guerre, en bon patriote américain, contre les nazis. Bien que réformé, il insiste tellement qu’il finit par se faire repérer par un savant, le Professeur Erskine (voilà le savant fou). Avec un sérum (voilà la piqure) et une irradiation, il transforme un gringalet en gros balèze super endurant.

De la même manière, dans un autre comics, les « Nouveaux Mutants », relié à la série des « X-mens », des êtres à l’ADN modifié sont créés par recombinaison d’ADN. Warlock est un extra-terrestre de l’espèce Technarchy. Ce sont des êtres mi-humains, mi-machines appelés techno-organiques. Un peu comme les araignées injectent un venin à leur proie avant de leur sucer la chair, il se nourrissent en infectant des créatures vivantes avec un virus, avant d’aspirer leur énergie. Quand Warlock est tué, il est incinéré, et ses cendres sont utilisées pour infecter des humains. Cette fois, la mutation se transmet donc aux humains par l’injection des cendres issues de l’incinération d’un mutant… ils innovent !

Autre innovation, la recombinaison avec un programme informatique est employée dans le jeu vidéo et l'anime « Megaman ». Le personnage de Hub est ainsi transformée en Megaman.EXE. Une manière un peu poussée de montrer que l’ADN est une sorte de programme informatique du corps humain.

Parfois ces modifications d’ADN sont une question de survie. Dans la nouvelle « Eugène » de Greg Egan (recueil Axiomatique), on peut lire « Ils étaient nés roses […] et ils avaient acquis une peau d’un noir profond, légèrement violacée : un rétrovirus artificiel avait inséré des gènes dans leurs mélanocytes pour accroitre le taux de synthèse et de transfert de la mélanine. » Ce n’est pas cosmétique, pas seulement : le trou dans le couche d’ozone s’est étendu au dessus de l’Australie et beaucoup de cancer de la peau se développent. Cette opération est plus pratique que l’emploi d’écrans solaires en permanence. Un autre virus permet d’enlever les gènes introduits si l’on veut revenir en arrière.

Jusqu’ici, l’être humain s’en sortait plutôt bien, les modifications étant positives. Mais dans le jeu vidéo « Fallout », les choses changent. Pour contrer l’emploi d’armes NBC (Nucléaire, bactériologique et chimique), le virus FEV (Forced Evolutionary Virus) est injecté pour forcer l’évolution des humains et leur permettre de se défendre contre les armes NBC. Mais, en plus de doubler la quantité d’ADN présente dans chaque cellule du corps, d’augmenter la masse musculaire et l’agressivité, le virus FEV rend également les humains et les animaux stériles et dans une grande majorité des cas vraiment stupides.

Tout se serait bien passé si c’était resté au stade de l’expérimentation (encore un savant fou). Mais durant la guerre, le virus a été relâché dans la nature, d'où une contamination à grande échelle. Les humains deviennent des goules, ou des supers mutants (en fonction du taux de radiations reçues en plus du virus), les geckos deviennent des lézards encore plus gros (idem pour les scorpions et les rats). Pour finir, les vaches deviennent des brahmines. Elles gagnent une tête dans l’opération, mais restent amicales.

Dans l'univers « Star Trek », Tuvo et Neelix, fusionnent en un seul individu à la suite de l'action des molécules d'une fleur sur leurs ADN pendant un accident de téléporteur. L’être créé, Tuvix refuse alors de disparaître pour permettre la reconstitution des deux personnages d'origine.

En conclusion : toujours se méfier des savants fous… ou de certaines fleurs !
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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 07:27

InPlano.jpg

Dessin.jpg

 

Pour Noël, l'an dernier, j'ai réalisé un certain nombre de petites étiquettes à mettre sur des cadeaux. Voici le sapin.

 

En préparation :

EtiquetteSapin1.jpg

 

En couleur :

EtiquetteSapin2.jpg

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