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InTheBlob

ce truc est mon blog.. qui l'eut cru!
il contient :
- des trucs et des n'importe-quoi dans la catégorie En Folie,
- des photos et des dessins dans In Plano
- des articles de lecture dans les différents In Folio
- des amusements littéraires dans In Quarto
- des articles sur la musique dans In Octavo
- des recettes de cuisine dans In Douze (parce que midi, c'est l'heure !)
- des articles de cinéma dans In Seize (Neuvième)
- des articles de science et de fiction dans In Dix-Huit (parce que c'est le format suivant)

Voilà, vous êtes prévenus.

Inthepast

10 mai 2007 4 10 /05 /mai /2007 09:44
Je devrais avoir honte de l'avouer, je n'avais jamais lu ce livre. Roman mythique de 1897 mettant en scène la figure mythique du comte Dracula, le vampire vivant dans les Carpathes.

Jonathan Harker est envoyé par Peter Hawkins ans les Carpathes, afin de parler avec le comte Dracula de son acquisition d'une propriété à Londres.
Sue le trajet le conduisant chez le comte, les autochtones lui déconseillent vivement d'aller chez le comte, en se signant. Sachant la population très supersticieuse, bien que peu rassuré, Jonathan va tout de même chez le comte.
Une fois sur place, Jonathan sent très rapidement qu'il y a quelque chose d'anormal chez ce vieil homme. Il semble ne jamais manger, il vit la nuit et ne se reflète pas dans les miroirs...
Le pauvre Jonathan n'est alors pas au bout de ses souffrances.
L'horreur va ensuite se poursuivre à Londres, avec l'intervention de nombreux personnages, dont le fameux Docteur Van Helsing.

Ce roman pose de nombreuses bases sur les vampires. Elles sont, je suppose issues d'une tradition orale et populaire. J'ai relevé certains de ces éléments : ils craignent l'ail, les hosties, les crucifix, un pieu enfoncé dans le coeur les tue. Ils vivent la nuit, et ne se reflètent pas dans les miroirs. Ils peuvent se transformer en un autre animal, par exemple un loup, une chauve souris. Ils peuvent engendrer une sorte de brouillard et eux même se déplacer sous une forme vaporeuse et ainsi entrer par des petits interstices. Ils ne peuvent d'ailleurs entrer dans une maison que si on les y invite. Leur pouvoir hypnotique aidant à contrôler et endormir les gens dont ils sucent le sang. Les personnes dont le sang a été aspiré à petite dose et qui ont bu du sang de vampire deviennent progressivement eux-même des vampires, leurs dents poussent, mais c'est une fois mort qu'ils le deviennent réellement. Etc, etc...
Tous ces éléments, seront maintes fois repris dans des films, des pièces de théatre... et dans la série des romans de Anne Rice sur les vampires dont le premier est paru en 1976 (Entretien avec un vampire).

Malgré quelques passages assez longs et descriptifs, et un style qui m'a paru un peu vieillot, une tension est présente et le suspens qui va crescendo nous tient jusqu'à la dernière page.

J'ai du mal à m'ôter du crâne la vision de Bela Lugosi incarnant Dracula en 1931, en noir et blanc. Cette image est évoquée dans le film Ed Wood de Tim Burton.
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14 avril 2007 6 14 /04 /avril /2007 13:25
Le mythe de Cthulhu initié par Lovecraft se poursuit sous la plume de A. Delerth, son executeur testamentaire. Celui-ci rédige à son tour des nouvelles liées au mythe des Grands Anciens en se basant sur les notes de Lovecraft.
Dommage que toutes les nouvelles soient plus ou moins calquées sur le même modèle. Un homme plonge dans des livres contenant des formules incantatoires ou parlant des Grands Anciens. Puis, volontairement ou non, il partcipe au retour de l'un des monstres ancestraux. S'en suivent des phénomènes surnaturels, disparitions, meurtres, possessions, sacrifices...
Souvent un second personnage, un témoin ou une personne amenée à son tour à faire revenir les créatures, raconte.
Seuls changent le contexte, la créature qui resurgit, et quelques détails liés aux manifestations de ces créatures.

Pour la culture, si vous le connaissez pas le mythe de Cthulhu, ça peut être intéressant de le lire.
Si comme moi, vous mettiez plus d'espoir dans ce mythe et que vous avez déjà lu "La légende de Cthulhu", la lecture de ce recueil ne s'avère pas indispensable.
Je préfère lire la BD qui est sur internet qui reprend avec humour ce mythe, et me l'a fait découvrir.
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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 17:43
C'est un recueil de nouvelles liées au mythe de Cthulhu (pfiou, je dois réfléchir à chaque fois pour l'écrire !) et des Grands Anciens.
Magie noire, culte de deïtés ancestrales, sacrifices humains, livres anciens... toutes ces nouvelles abordent des thèmes proches mélant science-fiction et horreur à la manière de Poe.
La première nouvelle est le texte de référence "l'appel de Cthulhu" de Lovecraft, parlant de la cité engloutie de R'Iyeh et de la créature verte à tête de pieuvre, petites ailes dans le dos et écailles sur le corps, dont le retour pour régner sur terre est attendu par des cultistes fanatiques pratiquant sacrifices et magie noire.
Les autres nouvelles sont écrites par d'autres auteurs, dont A. Delerth, l'exécuteur testamentaire et ami de Lovecraft qui a prolongé le mythe après la mort de Lovecraft à partir de notes qu'il avait rédigé.
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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 19:08
Qui ne le sait pas encore ? Harry potter est un jeune sorcier qui étudie la magie à l'Université de l'Invisible (Annales du Disque Monde - T. Pratchett), Euh non, à l'Ecole des Sorciers de Poudlard.

Etant bébé, les parents de Harry ont été tués par le grand méchant sorcier, celui dont on ne doit pas prononcer le nom, Sauron (Le seigneur des anneaux), euh, non, Lord Voldemort. Il a donc été élevé par les Dudley (son méchant oncle et sa méchante tante et leur méchant fiston pourri gâté, alors que le pauvre malheureux petit Harry n’avait rien - hum… Cendrillon ?) qui refusent d’entendre parler de magie. Harry accueille comme une libération la venue des sorciers pour lui annoncer qu’il allait quitter cette famille. Malgré ces rudes traitements, Harry a su rester un garçon au grand cœur, prêt à défendre veuve et orphelins.

Il a pour ami Ron et Hermione.

Ron est issu d’une famille de sorcier, modèle typique de la famille ouvrière d’Irlande : pas bien riche, famille nombreuse, cheveux roux. Il n’est pas très finaud ce Ron, il comprend vite quand on lui explique longtemps.

Hermione, est née de parents Moldus (des non-sorciers). Pas de bol pour elle, c’est une fille, et dans l’esprit de J. K. Rowling, elle se doit donc d’être une acharnée en cours, apprenant tout par cœur, lisant les cours à l’avance. Pour cette intelligence et ce sérieux, et de la manière dont ses interventions en cours sont décrites, on lui donnerait presque des baffes. Est-ce une bonne idée de reproduire le schéma qui consiste à se moquer des bons élèves ?

Plus que leurs qualités intellectuelles, c’est leur fidélité envers Harry qui les grandit dans les romans.

C’est très vite devenu un grand classique de la littérature pour enfants. Les adultes se l’arrachent eux aussi pour le lire aussi bien en français qu’en version originale, car l’écriture de J.K. Rowling se lit aussi très bien en anglais. Ces romans, 7 tomes sont prévus, ont un grand succès grâce à cette écriture simple, et aussi parce qu’ils semblent originaux à tant de gens qui lisent peu. Mais comme je l’ai souligné ci-dessus, on y retrouve très vite des ingrédients présents dans d’autres ouvrages et dans le comportement des enfants.

J’ai lu tous les tomes parus jusqu’ici, soit en français, soit en anglais, et parfois les deux, plus par curiosité que par réelle passion pour le roman, et bien que ce soit bien moins original que les T. Pratchett, je ne peux pas nier que c’est agréable à lire et que ça contient pas mal de suspense.

Le dernier tome en date, et donc celui que je viens de lire est « Le Prince de sang mêlé » et correspond à la sixième année de Harry à l’école des sorciers. Il commence à devenir un grand garçon qui pense avec ses boyaux plus qu’avec ses deux neurones. Mais les sentiments décrits restent très basiques, il faut que les enfants-lecteurs arrivent à comprendre au bout de deux ou trois allusions grossières que les entrailles d’Harry, de Ron et d’Hermione les travaillent. Mais il est toujours aussi bécasse en cours, sauf quand il s’agit de voler sur son balai ou bien d’utiliser le fameux livre de potions annoté par le Prince de sang mêlé.

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6 janvier 2007 6 06 /01 /janvier /2007 16:25

Nous voilà projetés là où l’herbe est rouge, où le ciel, si bas que l’on peut le frôler pour le renvoyer à l’infini, luit sans bruit… Le style mâtiné de poésie, d’étrange et d’absurde de Boris Vian est installé confortablement dans un fauteuil et se distille à petites gouttes sous nos yeux ébahis : « Par la fenêtre, on voyait les longues traînées de larmes du crépuscule sur les joues noires des nuages. »

Je suppose quand même que l’on est sur Terre. Mais c’est à se demander.

Wolf, le savant, et Saphir Lazuli, son mécanicien, mettent au point une machine. On ne sait pas trop bien à quoi elle va bien pouvoir servir, mais Wolf souhaite l’essayer dès qu’elle aura été inaugurée. Lil, la femme de Wolf, et Folavril, l’amie de Saphir, assistent à la fin des préparatifs, tandis que Wolf est intrigué par l’apparition et la disparition subite d’un personnage, ombre floue… .

Récupéré un peu par hasard en Suisse sur un coup de tête. J’avais souvenir de "L’écume des jours" qui m’avait plu, et de "L’arrache cœur" qui m’avait beaucoup moins plu… Alors, j’étais très tangente quand à ce livre. Mais je les avais lus tous les deux il y déjà au moins 10 ans, les souvenirs se brouillent. Finalement, c’est un livre que je ne regrette pas d’avoir emporté et je viens de décider que j’allais relire les deux autres pour me les remettre en tête.

PS :

C’est étrange comme les souvenirs déforment les choses, j’étais persuadée de ne pas avoir lu l’herbe rouge, mais bel et bien l’arrache cœur. Et voilà que je croise sur le rayonnage familial, à coté de l’écume des jours, non pas l’arrache cœur, mais effectivement l’herbe rouge… Il faut bien croire qu'il m’avait déplu au point que je ne me souvenais même plus de son contenu.

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5 novembre 2006 7 05 /11 /novembre /2006 12:30
Richard Mayhew va à Londres, il y rencontre Jessica, il y travaille... Tout va bien.
Mais un jour, tout bascule. Une jeune fille, Porte, s'écroule devant lui sur le trottoir, semblant sortir d'un mur (!!??). Elle est blessée, et il décide de l'aider malgré l'avis de Jessica. Richard découvre bien vite qu'elle est poursuivie par deux sombres individus, Mr Vandemar et Mr Croup, aussi vicieux l'un que l'autre.
Il aide Porte à leur échapper en contactant ses amis, mais le voilà impliqué dans une histoire qui lui échappe très vite : il est projeté dans le Londres "d'en bas". Le Londres des exclus, le Londres des rats, des ombres, du danger pour qui n'y connait rien... comme lui.

Neil Gaiman, je le connaissais déjà pour avoir co-écrit "De bons présages" avec Terry Pratchett, mais c'est la première fois que j'ai l'occasion de lire un autre de ses romans. Hé bien, j'ai adoré ! Il y a beaucoup d'humour, l'histoire est franchement originale, bien ficelée...
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6 août 2006 7 06 /08 /août /2006 14:00
Futur lointain sur ce que sera la Terre, Dame Tania Linn, Belle Fille de l'Empereur Linn, vient de mettre au monde un enfant. Mais il est malformé, mutant. Sa mère a été exposée à la radioactivité de l'un des temples dans lesquels les savants vénèrent les quatre Dieux de l'atome : Plutonium, Uranium, Radium et Icks.

Le pouvoir des savants est alors remis en cause par l'Empereur, et l'enfant aurait été tué si l'un des savants de la cour, Joquin,  n'avait plaidé en la faveur de sa survie. Mais il va vivre, protégé par Joquin, et grandir...

Quel futur attend ce jeune mutant au sein d'une famille régnante où les complots sont légion?
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23 juillet 2006 7 23 /07 /juillet /2006 22:21
Entretien avec un vampire, premier tome de la trilogie de Anne Rice sur le vampire Lestat... Quoique dans ce tome Lestat reste un personnage de second plan. Celui qui raconte et que l'on suit au travers du récit qu'il fait au journaliste, c'est Louis...

C'est à la nouvelle Orléans que Louis a été fait vampire sous la morsure et l'échange de sang avec Lestat.
"I was a tenty-five-year-old man when I became a vampire, and the year was seventeen ninety-one"
Ce sont ses interactions avec Lestat au fil des ans, ses états d'âmes, l'apparition de nouveaux vampires, la soif de découvrir d'autres vampires sur le vieux continent, les tensions, les trahisons... c'est toute sa vie qu'il nous raconte.

Louis, est un vampire torturé par son état. Devoir tuer pour vivre reste pour lui une douleur, et en tant que tel, il se sent oeuvre du démon. Ce n'est pas le monstre sans pitié assoiffé de sang décrit si souvent dans la littérature. Il a un coté humain. Il est capable d'aimer, de souffrir...

D'ailleurs, Anne Rice donne à chacun de ses personnages un caractère bien défini, chacun avec ses défauts. Ses vampires sont tels des hommes, mais en plus extrèmes car guidés par leur besoin de tuer...

C'est un livre très prenant. Même en le lisant en anglais (avec certaines choses qui m'ont bien entendu échappées), j'ai beaucoup apprécié cette lecture... Si l'occasion se présente, je lirais bien la suite.

Ah, et puis, bien sûr, c'est de ce livre que le film du même nom a été tiré.

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15 juin 2006 4 15 /06 /juin /2006 10:27
J'ai lu les trois premiers tomes, je n'ai pas vu le film.

Le premier tome, s'intitule le neveu du magicien. Deux enfants sont envoyés par le biais d'anneaux magiques à travers les dimensions par un méchant scientifique sans scrupule (hou, le méchant!). Ce tome retrace aussi la création du monde de Narnia par le lion Aslan et l'apparition du mal dans ce monde.

Ca se lit vite! Le style est très enfantin.

On croirait un livre de catéchisme tellement c'est moralisateur (ce qu'il ne faut pas faire, ce qui n'est pas poli, le bien/le mal, les gentils/les méchants...), tellement c'est profondément créationniste et truffé de référence au christanisme... ça en est presque énervant tellement c'est trop gros, trop évident.
Dans ce tome, il y a une similitude avec le Seigneur des Anneaux de Tolkien (on me chuchote dans l'oreille que Tolkien et Lewis se connaissaient?), avec des anneaux magiques.

Malgré tout, j'ai eu envie de lire la suite.

Le deuxième tome, l'armoire magique. Cette fois, beaucoup plus tard, d'autres enfants découvrent le monde de Narnia en passant à travers une armoire qui avait été construite avec le bois d'un arbre magique. C'est ce tome qui est à la base du film si j'ai bien compris.

Comme le précédent, il se lit vite. Trop vite peut être. J'ai presque trouvé la fin trop rapide. D'ailleurs, là où Tolkien aurait tartiné longuement sur la scène de bataille, elle est évacuée en quelques lignes! C'est tout de même un livre pour enfants où l'on prèche la bonne morale, il ne faut pas leur faire subir un combat si violent!!
Cependant, à part deux petites choses récurentes, ce tome est moins moralisateur que le premier... ou c'est moi qui m'habitue :). Cependant, [SPOILER !!! ] on y trouve le theme du pardon et de la redemption, qui apparait lorsque le plus jeune des garcons retrouve ses freres et soeurs apres les avoir trahis en allant voir la sorciere. Et la resurrection d'Aslan... [FIN SPOILER]
Je n'ai pas pu m'empêcher de trouver encore une similitude avec le Seigneur des Anneaux de Tolkien: Aslan, dans la bouche des 'méchants' est le "Il" dont il ne faut pas prononcer le nom...

Bon, j'ai persévéré avec le troisième tome. Le cheval et son écuyer.

Dans le monde de Narnia, les animaux parlent. Et voilà qu'un cheval enlevé dans son enfance des vertes prairies de Narnia décide de reprendre sa liberté. Il entraine avec lui un jeune garçon, pour passer plus inaperçu, un cheval doit avoir un écuyer.

Toujours moralisateur, ça en devient gavant. Le style est très enfantin. Définitivement, ce n'est pas fait pour être lu par des adultes. Je finis par ne plus voir que c'est un conte et que ça possède un coté féérique tant je me crispe sur l'écriture simpliste, et moralisatrice.

Tome 4 :  le Prince Caspian

Bon, cette aventure m'a un peu moins crispé que les autres. Je m'habitue peut être, ou bien je n'étais pas dans le même état d'esprit... va savoir. Les 4 enfants souverains sont rappelés dans le monde de Narnia pour venir en aide au prince Caspian...
Cependant, à chaque fois que Aslan apparait, ça dégouline un peu trop de bons sentiments.

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8 mai 2006 1 08 /05 /mai /2006 12:29
L'auteur nous raconte sa vie, de l'âge de 9 ans à l'époque où il écrit. Et sa vie n'est pas banale, tout du moins sa jeunesse.
Orphelin, il est élevé par son oncle et sa tante. Alors qu'il a 9 ans, il les quitte pour suivre un homme étrange, Maitre Yehudi, qui lui promet qu'il va lui apprendre à voler... pas chaparder, voler comme un oiseau!
"J'avais 12 ans la première fois que j'ai marché sur l'eau. L'homme aux habits noirs m'avait appris à le faire, et je ne prétendais pas avoir pigé le truc du jour au lendemain"
L'homme l'emmène alors dans une ferme perdue au Kansas.
"Il me semblait être tombé dans une faille du temps pour atterrir à l'âge de pierre en une contrée où les dinausaures erraient encore sur la Terre."
Là il vit avec un jeune noir, Esope, et une femme Indiene, Maman Sue. La vie est dure entre les travaux des champs et l'entrainement qu'il subit pour apprendre à voler. Mais il grandit, mûrit, et apprend la tolérance aussi :
"Il [Esope] m'a marqué d'une façon qui a transformé ma personnalité, qui a modifié le cours et la substance de ma vie. Je ne fais pas seulement allusion à mes préjugés, ce vieux sortilège qui empèche de voir les gens plus loin que la couleur de leur peau, mais au fait même de l'amitié [...] "
Et au final, il réussit, ça y est, il lévite... et il vole...
Maitre Yehudi l'emmène alors dans une tournée à travers les USA pour montrer ses talents...

Ce livre est peuplé de personnages un peu spéciaux, et on découvre parfois une partie de leur vie. Maitre Yehudi perd petit à petit son aura d'être surnaturel pour s'humaniser. On le découvre amoureux et faillible par exemple...

Le reste de sa vie, je vous laisse la découvrir...
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