Cyber 6
Un gros poutouxx à la personne qui m'a prété son DVD et sa BD!!! Ca vaut amplement mon prêt de Nausicäa de la vallée du vent et du DVD de Porco
Rosso!!!
Bref, qu'est ce que c'est bien!
Alors, pour vous mettre au parfum, (hein, quand même, on parlotte entre nous, mais ça na vous dit pas ce que c'est ...) j'ai vu les 5 premiers épisodes de Cyber 6
en DVD, et j'ai lu aussi le troisième tome de la BD avec une super longue histoire dedans. Yum yum!
Mais quelle est donc cette silhouette agile, à la cape noire doublée de rouge et au chapeau vissé sur la tête?
Dans le premier épisode, les personnages se mettent en place. Parmi eux, deux enseignants, l'un de lettres, Adrian Seidelman, tout nouvellement arrivé, et l'autre professeur de biologie, Lucas
Amato, qui devient rapidement l'ami de Adrian.
Dans les rues, d'étranges monstres aux yeux rouges, genre de créatures de Frankenstein, rodent. Ces créatures sont des clones créés par par le Docteur Von
Richter.
Un imprimeur et un graveur ont disparu...
Mais Cyber 6, justicière, ombre bondissant de toits en toits, veille pour déjouer les plans de José, le clone nabot à l'aspect d'un enfant capricieux et hargneux, créé lui aussi par le Docteur
Von Richter.
Et Lucas rencontre Cyber 6. ^_^
Dans les épisodes suivants, l'amitié entre les deux enseignants se solidifie. Leur vie croise souvent les complots fomentés par José. Chaque
épisode apporte un nouveau personnage, qui revient parfois dans les épisodes suivants. Petit à petit, on en découvre un peu plus sur Cyber 6, et les relations entre les personnages évoluent.
C'est vraiment bien ficelé. J'ai regardé les 5 épisodes d'affilé, et j'ai ressenti une certaine frustration en constant qu'il n'y en avait pas d'autres.
Mais ma vengeance fut rapide, en me plongeant dans la BD!! :o)
Les dessins sont en noir et blanc, le graphisme du dessin animé est proche de celui de la BD.
Mais sinon, vaut mieux prévenir, autant les dessins animés sont tout à fait regardables par des enfants, autant la BD est moins soft avec des allusions sexuelles, et plus d'images horribles (ou
c'est le noir et blanc qui rend cette impression de visages plus hideux dans la colère?).
Cyber 6 semble aussi se poser plus de question sur ce qu'elle est.
L'histoire reste toujours aussi captivante, et c'est avec un petit pincement que l'on tourne la dernière page, puis que l'on referme la couverture...