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InTheBlob

ce truc est mon blog.. qui l'eut cru!
il contient :
- des trucs et des n'importe-quoi dans la catégorie En Folie,
- des photos et des dessins dans In Plano
- des articles de lecture dans les différents In Folio
- des amusements littéraires dans In Quarto
- des articles sur la musique dans In Octavo
- des recettes de cuisine dans In Douze (parce que midi, c'est l'heure !)
- des articles de cinéma dans In Seize (Neuvième)
- des articles de science et de fiction dans In Dix-Huit (parce que c'est le format suivant)

Voilà, vous êtes prévenus.

Inthepast

26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 07:07
Ocean’s eleven
Ocean’s eleven

Fouille archologique dans mes tickets de cinéma

Ocean’s eleven – vu en mars 2002


Film de Steven Soderberg
Ce film raconte l’invention et la mise en œuvre d’un méga casse, mais vu du coté des truands. Cela commence par la constitution de la bande avec les meilleurs dans chaque domaine, par le chef de la bande, Danny Ocean. Ils seront ainsi 11.
Puis, les truands conçoivent les détails de ce vol qui doit avoir lieu dans 3 casinos de Las Vegas, durant la même nuit. Et enfin, le cambriolage en lui-même a lieu.


C’est un film plein de rebondissements, le spectateur n’est pas au bout de ses surprises et reste accroché à l’action qui se déroule sous ses yeux. En plus, la tension va crescendo, et le suspens aussi. Ce film se paye même le luxe de ne pas se prendre complètement au sérieux, avec une part de comédie.


Ce film est un remake d’un film de 1960. La brochette d’acteurs regroupée là est impressionnante.

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16 juin 2014 1 16 /06 /juin /2014 07:05
Taken 2

Taken 2


Film 2012 - Olivier Megaton
Brian Mill, encore lui, est toujours un ancien agent de la CIA. Au prix de nombreux cadavres, il a réussi à extraire sa fille des mains d’un gang d’albanais, dans le premier Taken de 2008.
Au pays, en Albanie, les familles pleurent leurs morts. Ils ont aussi soif de vengeance. Loi du talion, en force. Ils partent alors à la chasse au Brian, bien décidés à faire souffrir d’abord, puis à zigouiller ensuite celui qui a tué leurs enfants, petits-enfants, frères, oncles, cousins… qui faisaient un métier honnête et ont été injustement tués.
Le truc, dans les films, c’est que les méchants parlent toujours trop, ou attendent toujours trop avant de tirer. Ils auraient voulu l’avoir par surprise, lui tirer une balle, pouf, façon snipper, ils auraient pu réussir. A la place, ils bidouillent un truc bancal, et forcément, notre ex-agent de la CIA tellement malin, a le temps de s’organiser et de se défendre. Il ne prend pas tellement le temps de souffrir, et pour ce qui est de zigouiller, la pluie de cadavres est surtout du coté albanais, encore.

Concernant de la réalisation du film, je n’ai pas du tout aimé le découpage à la hache des scènes où ils se battent. OK, on sait qu’ils se battent, mais on n’y comprend rien tellement on n’a pas le temps de voir, et ça fait mal aux yeux, à force, cette image qui clignote.
Concernant le scénario, la triangulation sur une carte avec des petits ronds et des pétards ne m’a pas non plus paru très crédible.
Bref, ici les ficelles sont bien plus grosses que dans le premier opus, même si ça reste toujours aussi efficace dans l’action et le suspens.

 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 07:00
Taken

Taken

Film 2008 - Pierre Morel
Brian Mills est un ancien agent de la CIA. Il regarde, un peu tendu, sa fille partir en vacances avec une amie, à Paris. Insouciance, rires, yeux pleins de joies, les deux jeunes filles n’ont pas les mêmes craintes.
Quelque temps plus tard, sa fille l’appelle depuis l’appartement qu’elles occupent. Panique. Elle se cache, des hommes viennent d’entrer dans l’appartement, d’enlever son amie, et elle est la suivante.
Son père, à distance, lui explique quoi faire, surtout laisser le téléphone allumé. Puis il assiste, impuissant, à l’enlèvement de sa fille, tout en s’efforçant d’entendre via la téléphone tout ce qu’il peut pour retrouver les agresseurs.
Ensuite, il part à Paris avec la ferme intention de l’arracher des mains d’une mafia albanaise qui pratique la traite des blanches. Alors, forcément, l’ex-agent de la CIA ne va pas y aller de main morte, et il pleut des cadavres.

C’est un film basé sur l’action, et un suspens bien prenant. Du point de vue étranger, je critiquerais le coté «Attention, Paris n’est pas une ville sûre pour deux jeunes américaines». Si les films ne manipulaient pas de faux clichés, ça se saurait. A noter que le film est français, bien que les acteurs soient anglophones, ce qui surprend d’autant plus.
Bref, c’est un film efficace, qui se regarde les mains crispées sur le siège.

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 07:15
Shadow dancer

Shadow dancer


Film de 2013 de James March.
1973, Belfast, un enfant sort pour aller acheter du pain. Des cris, du raffut dehors, et ce même enfant revient. Il est porté dans les bras, inerte. La famille McVeigh vient de perdre un fils.
Une vingtaine d’années plus tard, les frères et sœurs de cet enfant sont devenus activistes de l’IRA. Colette McVeigh est missionnée pour commettre un attentat dans le métro de Londres. Mais celui-ci échoue et elle est arrêtée par le MI5. Ils la menacent de ne plus jamais revoir son fils. Mac, un agent du MI5 finit par la persuader d’espionner sa famille contre sa liberté.
La suite du film retrace alors la vie de Colette dans son double-jeu, ses doutes, ses contacts avec le MI5, la peur d’être démasquée, l’attachement à sa famille et l’amour pour son fils. Le spectateur n’est pas au bout de ses surprises car tout n’est pas simple non plus du coté du MI5.

Ce film m’a, au départ, plutôt désarçonnée avec sa manière de filmer en caméra réaliste. Ca bouge beaucoup. Une fois prise dans le récit, ce détail s’est estompé, et la fin m’a vraiment surprise.

 

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20 mai 2014 2 20 /05 /mai /2014 07:47
Django unchained

Django unchained


Film janvier 2013 - Quentin Tarantino

Plantons le décor : Sud des Etats-Unis, deux ans avant la guerre de sécession. Au milieu d’immenses plantations, l’esclavage va bon train. Le Dr King Schultz, d’origine allemande, voit ça d’un mauvais œil. Il est chasseur de prime. Un esclave, Django, peut reconnaître pour lui, trois frères dont la tête est mise à prix. Il va profiter du fait qu’il a besoin de son témoignage pour le libérer.
Une fois cette arrestation finie, Django s’étant tellement bien acquitté de sa tâche, le Dr King Schultz lui propose de devenir son associé. Ce duo ne va alors pas passer inaperçu et s’attirer la haine de bien des gens.
En arrière plan du coté chasseur de prime, il y a le fait que Django veut retrouver sa femme, elle aussi esclave, et dont il a été séparé.

Au cours du film, il y a du sang qui gicle dans tous les sens. En la matière, Tarantino ne fait pas dans la demi-mesure. Je crois qu’en l’espace d’un film, j’ai atteint mon quota de morts violentes pour l’année. Les gens meurent de plein de manières différentes, mais surtout par balle.
Il s’agit là d’un film intelligent sous plusieurs aspects. Il se place dans un contexte historique délicat (esclavage, proximité de la guerre de sécession), possède un scénario très décoiffant, des références sympathiques aux westerns spaghetti, et réussit à y mettre de l’humour pour contraster et détendre l’atmosphère après avoir vu tant de sang.

C’est donc un excellent Tarantino. Cependant, âmes sensibles s’abstenir !

 

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 07:51
L’été de Kikujiro
L’été de Kikujiro

Fouille archologique dans mes tickets de cinéma

L’été de Kikujiro - Vu en mars 2002

 

Film de Takeshi Kitano

Un petit garçon, Masao, 9 ans, décide de partir à la recherche de sa mère, en se basant sur une adresse incertaine. C’est l’été, les vacances et tous ses amis sont partis. Il est seul à Tokyo chez sa grand-mère qui travaille pendant la journée.
Après quelques tribulations, une femme qui loge près de chez lui le trouve, et elle oblige son mari, Kikujiro, à l’accompagner pour qu’il ne lui arrive rien. C’est un homme raté, un looser, qui dépense tout son argent en jouant aux courses. Il finit par accompagner le petit garçon.


Tout d’abord, l’argent que l’enfant avait disparaît dans des paris perdants aux courses. Une fois plumé, il se décide à l’emmener à l’adresse qu’il recherche.
Tous les deux vont faire de nombreuses rencontres, souvent très surprenantes, si bien que ce film présente une superbe galerie de divers personnages originaux.
L’homme, d’abord bourru, s’attendrit petit à petit. Ce personnage, antipathique de prime abord, finit par émouvoir et même faire rire.


C’est un film, que dis-je un petit chef d’œuvre du cinéma, que je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de revoir depuis. Je le regrette, car j’aimerais réactualiser dans mon esprit tous ces personnages étranges. Je ne me souviens que des motards, et encore de manière assez vague.

 

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26 avril 2014 6 26 /04 /avril /2014 07:40
Argo

Argo


Film 2012 Ben Affleck

Ce film s’appuie sur des faits réels. En 1979, en Iran, l’ambassade américaine à Téhéran est attaquée. Le pays est alors en pleine révolution, et les USA sont tenus pour responsables de la présence du Shah au pouvoir.
Au cours de l’attaque, les membres de l’ambassade sont pris en otage. Mais dans la pagaille, six d’entre eux arrivent à sortir par une porte arrière. Ils vont se réfugier à l’ambassade du Canada qui prend alors la décision de les cacher. Si jamais leur présence est dénoncée aux révolutionnaires, leur vie et celle des autres membres de l’ambassade est en jeu.
S’enclenche alors une course contre la montre pour les faire sortir de là avant que les révolutionnaires ne se rendent compte qu’il manque des gens. C’est alors que Tony Mendez, spécialiste de ce genre de situation est contacté par les services secrets américains. Il doit rapidement trouver une idée pour les faire sortir du pays.
Après ce début de film très tendu, l’atmosphère se détend un peu. Les propositions de scénarios d’évasion sont assez loufoques. La seule à peu près viable consiste à les faire passer pour une équipe de tournage pour un film. Les paysages exotiques quasi lunaires de l’Iran peuvent faire l’affaire pour un film du type Star Wars. Mais il faut que cela fasse vrai, scénario, producteur…


Le film mélange ainsi des passages très sérieux qui font prendre conscience au spectateur de la dureté et de la violence des événements de 1979 avec d’autres passages plus légers. Il y a quelques images choc, mais ce n’est pas juste pour le plaisir de montrer du sang, c’est la réalité telle qu’elle s’est déroulée et a été montrée par les médias à cette époque. Pour le coté plus léger, les personnages qui jouent le scénariste et le producteur font bien rire. C’est également dépaysant de voir les vêtements, les coiffures et les grosses lunettes qui étaient portées dans ces années là.

C’est un film très intelligent, bien construit, avec un grand travail de reconstitution historique.

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16 avril 2014 3 16 /04 /avril /2014 07:01
Batman : The dark knight rises

Batman : The dark knight rises

 

Film de 2012 de Christopher Nolan.

Comme bien d’autres, je n’ai pas résisté à l’envie d’aller voir la suite des aventures de Batman, avec Christian Bale. Après "Batman Begins" et "The Dark Knight", j’ai voulu finir la trilogie.


Le héros est bien torturé et se pose beaucoup de questions sur lui-même. Il a pris pour lui les meurtres commis par Harvey Dent, afin de ne pas ternir la réputation de celui-ci. Depuis, le Bat-mec reste enfermé chez lui à se morfondre.
Il faut dire que la ville est beaucoup plus calme depuis que les gros méchants ont été balayés par Bat-bat… même si tout l’honneur en est revenu à Harvey Dent et au Commissaire James Gordon. Il faudra l’arrivée d’un mec déjanté, portant un masque sur le visage et défiant ouvertement Batman, pour que celui-ci décide de se bouger un peu. Mais le Bane est un vrai gros méchant, et le Bat va en baver sévèrement.


C’est un film à gros budget, plein d’action, avec des bolides qui font vroum et des gadgets. Mais pas que. Il y a aussi des personnages qui ont des sentiments et qui s’interrogent sur leur existence (c’est la mode, les gars à gros muscle qui réfléchissent). C’est également parfois émouvant et drôle. Drôle, à leur dépend aussi, avec tout ce buzz avec cette scène maintenant mythique où Marion Cotillard fait Argh.
Parfois on a peur pour le héros qui s’en prend plein la tête, mais au milieu de ces émotions, c’est aussi un film où à certains moments, je me suis ennuyée. Argh.

 

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 07:05
Road trip
Road trip

Fouille archologique dans mes tickets de cinéma

Road trip

Vu en octobre 2000 (au tarif normal de 44 francs !)

Réalisateur : Todd Phillips 


Choc culturel. Ceci est la première comédie américaine pour ados boutonneux que j’ai vue. Et par la suite, je me suis efforcée de ne pas renouveler cette expérience en me renseignant un peu mieux sur les films avant d’aller les voir entre potes.
C’est l’histoire d’un mec et d’une fille qui étudient dans deux universités éloignées aux USA et qui s’aiment. Et pourtant, ils ont promis de rester fidèles malgré la distance.
Enfin, ils s’aiment comme peuvent s’aimer des étudiants américains… Le gars prépare une cassette VHS avec plein de mots doux pour l’envoyer à sa copine, mais à la première occasion, il n’hésite pas à la tromper et ils font même une vidéo de leurs ébats.
Le hic c’est qu’au lieu d’envoyer les mots doux, c’est l’autre cassette qui part. Il ne reste plus qu’au gars à partir sur la route, et faire des km et des km pour arriver sur place avant la cassette.
Le niveau ne vole franchement pas haut. C’est un film qui tourne autour de l’idée que les étudiants américains n’ont qu’une seule obsession : se faire dépuceler. Heureusement, il va voyager avec des potes, dont un grand dadais assez bizarre qui a légèrement remonté le film dans mon intérêt car il a réussi à me faire rire.
 

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 07:09
La vie est belle
La vie est belle

Fouille archologique dans mes tickets de cinéma

La vie est belle

Vu en décembre 2001

Réalisateur : Roberto Benigni 


Je crois que c’est un film qui n’a plus vraiment besoin d’être présenté tellement il est maintenant connu. Ce film retrace la vie d’un père juif et de son petit garçon. Ils sont tous les deux emmenés dans un camp de concentration, et le père fait tout ce qu’il peut pour que son fils ne comprenne pas ce qu’il est en train de se passer. Il transforme tout en jeu, raconte des histoires. Son but ultime est que son enfant ne se fasse pas tuer.
C’est un film très beau et très émouvant qui m’avait beaucoup touché lorsque je l’avais vu  en DVD et que je n’ai pas hésité à revoir depuis.
 

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