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InTheBlob

ce truc est mon blog.. qui l'eut cru!
il contient :
- des trucs et des n'importe-quoi dans la catégorie En Folie,
- des photos et des dessins dans In Plano
- des articles de lecture dans les différents In Folio
- des amusements littéraires dans In Quarto
- des articles sur la musique dans In Octavo
- des recettes de cuisine dans In Douze (parce que midi, c'est l'heure !)
- des articles de cinéma dans In Seize (Neuvième)
- des articles de science et de fiction dans In Dix-Huit (parce que c'est le format suivant)

Voilà, vous êtes prévenus.

Inthepast

17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 09:39
Archive : Film vu au ciné en Septembre 2005.

C'est un film américain à propos d'une mère et ses 4 filles, mais pas la grosse production bourrin, non non... traité en finesse avec des personnages attachants dans leurs qualités et leurs défauts. 

Le pitch : La mère et les 4 filles se retrouvent seules car le mari vient de partir du domicile familial. Sa femme le soupçonne d'être parti en Suède avec sa secrétaire. Elle ne veut pas se laisser faire et bien entendu bloque les cartes de crédit qu'il a emmené avce lui et rejette tout idée de prendre contact avec lui. 

Malgré tout, elle essaye de garder la tête haute pour s'occuper de ses filles. Elle puise une part de sa force en elles. Mais elle s'enfonce progressivement dans l'alcool et une certaine hargne : elle s'aigrit. C'est d'ailleurs ainsi que la décrit la voix off, une de ses filles, dès les premières minutes du film. 

Pour garder la tête hors de l'eau, progressivement elle s'appuie aussi sur un voisin, ex-star du basket-ball, dépendant à l'alcool et qui survit de contrats de promo dans les supermarchés, de vente de balles de base-ball dédicacées et d'une émission de radio... bref, la gloire déchue. 

Les années passent. 

Ce petit monde pourrait vivoter tranquillement comme ça, mais les choses se compliquent un peu lorsque l'une après l'autre chaque fille va faire des siennes. L'une tombe enceinte, l'autre malade, une autre refuse de poursuivre ses études... Et la colère est là, à fleur de peau, rentrée, rarement exprimée. Et toujours pas de nouvelles du mari. La mère refuse de l'appeler même dans les moments les plus difficiles... 

C'est toute cette vie qui est décrite par petites touches et bonds dans le temps... jusqu'à la chute finale. Eh oui, il faut bien finir. Dommage, j'aurais aimé que ça dure encore plus tellement je me suis laissé prendre dans cette histoire. 

Kevin Cosner est très bon dans le rôle du voisin, looser, vieux garçon, débraillé et fragile aussi... ça change vraiment d'autres rôles que j'ai pu le voir jouer. 

L'actrice qui joue la mère est tout aussi excellente dans les moments où la colère explose, dans ceux ou la tristesse domine tout comme dans ceux où elle arrive à profiter un peu plus de sa vie. 

Donc pour moi, très bon.

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11 juin 2008 3 11 /06 /juin /2008 09:23
Archive : Film vu au ciné en Mai 2006.

Ce film, inspiré d'une histoire vraie, raconte l'histoire de Dimitri Pechkov, un jeune Cosaque, qui monté sur son cheval gris , Serko, va traverser toute la Russie du lointain fleuve Amour jusque St Petersbourg pour parler au Tsar.

Son père, sa mère, son frère et lui sont représentants du Tsar auprès du peuple des Issenk (?) en Mandchourie. Ainsi par exemple quand un mariage est célébré, la coutume locale veut que le jeune marié aille tuer un ours. Mais les cosaques sont là pour faire respecter les lois édictées par le tsar, et ils doivent assister à la chasse pour contrôler l'impôt sur les fourrures.

Alors qu'ils sont en chasse, d'autres représentants de l'autorité, et plus précisément du gouverneur, arrivent au village. Pour la construction du chemin de fer, il faut nourrir les ouvriers. Les chevaux du village doivent être tués. Il y en a probablement une centaine, et ils veulent les acheter avec 3 sacs de riz et quelques armes... Alors que le chef refuse, les hommes commencent à abattre les chevaux...

C'est à ce moment que le jeune marié revient de la chasse... Il est tué.

Dimitri décide alors de prévenir le Tsar du sort des petits chevaux de ce peuple dont il se sent un membre à part entière. Le Tsar doit savoir, il a, par décret, donné l'autorisation à ce peuple d'élever ces chevaux, il ne tolèrera pas qu'ils soient ainsi tués!

Et le voilà parti, Dimitri, chevauchant malgré le froid et la faim... vers ce but utopique, rencontrer le Tsar pour lui parler de chevaux...

Ribambelle de paysages, rencontres avec des peuplades, rencontre clef avec un artiste (Fragonard), moment de souffrance, moment de joie... Et la relation de l'homme avec son cheval.
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18 mai 2008 7 18 /05 /mai /2008 08:27

Archive : Film vu au ciné en Janvier 2006.

Au programme, 3 enterrements, un film de et avec Tommy Lee Jones. En VO s'il vous plaît, on va pas faire les choses à moitié (et ils ont un pu* d'accent ces texans). 

Un coyote semble manger quelque chose, là bas au loin. Cible facile, qui ne tarde pas à se transformer en viande froide... Sauf que récupérer le coyote est une autre partie de plaisir, c'est un cadavre qu'il était en train de grignoter. Un homme tué par balle et enterré à la va-vite. 

Cette scène se déroule au Texas, non loin de la frontière avec le Mexique. Et l'homme mort est Melquiades Estrada, un mexicain employé à garder des animaux... 

La police locale et les autorités d'immigration (la migra) ne semblent pas vouloir faire d'effort pour comprendre ce qui s'est passé, ou rechercher le coupable. 

C'est alors l'ami de Melquiades, Pete, qui décide de trouver le meurtrier. Une fois qu'il l'a trouvé, Pete le force à déterrer le corps puis à le suivre au Mexique... (je vous laisse découvrir la suite). 

Bien que cette histoire soit actuelle, et non de l'époque des pionniers du Far-West, on y retrouve la même rudesse. C'est la vie brut de brut au pays des cow-boys. Ils ne font pas de cadeau. Pete est garant du peu d'humanité qui existe dans cet univers, bien qu'il reste intransigeant avec son prisonnier. 

Vraiment un très bon film.

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16 février 2008 6 16 /02 /février /2008 08:57
Archive : Film vu au ciné en Mai 2006.

Pour changer des gentils films que je peux voir d'habitudes, j'ai eu envie de me décrasser un peu les neurones avec un film axé sur l'action et les effets spéciaux... de temps en temps, ça fait du bien...

Les X-men sont des mutants. Le code génétique mutant leur donne des pouvoirs qui diffèrent d'une personne à l'autre... télépathie, rapidité de mouvement, force extrème, traverser les murs, création du feu, création de glace etc...

Comme le titre l'indique, c'est le troisième volet de la trilogie des X-Mens... et bon, c'est un peu difficile de parler de celui ci pour qui n'aurait vu ni le 1 ni le 2... Il y a des personnages qui reviennent, qui évoluent...

Grosso modo, il y a d'un coté les humains qui n'ont pas de mutation. Il y a aussi les 'gentils mutants' avec à leur tête Charles Xavier, qui a des pouvoirs télépathiques. Ce groupe a créé une école pour mutants afin qu'ils puisssent étudier sans avoir à cacher leur particularité, et ils sont en faveur d'une intégration des mutants au sein de la société humaine. Et enfin, il y a les 'méchants mutants', dirigés par Magneto, qui souhaitent utiliser leur capacités pour dominer les humains.

Mais voilà que les humains d'un laboratoire pharmaceutique ont mis au point un vaccin qui soigne les mutations comme une simple maladie. Ceux qui reçoivent une injection deviennent alors des humains. Volonté d'humanisme pour aider les mutants qui souhaiteraient abandonner leur particularisme, ou arme conçue dans le but de faire disparaitre les mutants?
Par ailleurs, une femme qui fait partie des 'gentils mutants' a disparu engloutie sous l'eau à la fin de l'épisode 2. Et depuis son petit ami, lui aussi un 'gentil mutant', se noie dans le chagrin. Mais alors il entend sa voix et réussit à la sauver du lac où elle était engloutie. Malheureusement elle en ressort assez choquée et changée...

Et tout ce petit monde, humain, gentils et méchants mutants vont s'affronter à grand refont d'effets spéciaux parfois décoiffants... le pont, c'est plutôt sympa... je ne spoilerai pas plus...

Note, il y a un bonus à la toute toute fin du générique...

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15 janvier 2008 2 15 /01 /janvier /2008 17:17
Archive : Film vu au ciné en Mai 2006

Une femme a assassiné et découpé en rondelles son mari et son amante... parce que bon, fallait bien que quelqu'un les empêche de fuir tous les deux, non? Ca tombe sous le sens, n'est-ce pas? Elle a été arrêtée bêtement car la malle où elle transportait les corps n'était pas très étanche, et bon, du sang sur le parquet dans un train, ça fait un peu désordre.

Bien plus tard, à Little Wallop, le révérend Walter Goodfellow est par trop occupé par ses sermons et une convention pour laquelle il doit préparer un discours. Le révérend est tête en l'air, et ne remarque même pas ce qu'il se passe dans sa famille.

Peter, son fils, est maltraité par certains élèves de son école. Ollie (Holly?), sa fille, change de copain tous les jours, et en choisit des plus extrêmes les uns que les autres. Sa femme, Gloria, s'ennuie profondément, et regrette amèrement que son époux se préoccupe si peu d'elle au point qu'elle se laisse draguer par son prof de golf, un bellâtre américain. Et plus que tout, Gloria en a marre du chien du voisin qui ne cesse d'aboyer jour et nuit.

Le révérend est tellement distrait qu'il a, entre autres, la fâcheuse tendance à ne pas penser à aller chercher son fils à la sortie de l'école. Heureusement, la famille a engagé une gouvernante, une vieille petite dame, très bien sur elle.

Hum... la petite dame a quand même des méthodes assez expéditives pour régler certains problèmes... Et tout ça avec un certain flegme, Soooo british!

Humour à l'anglaise, quand tu nous tiens... C'est pas aussi loufoque qu'un Monty Python,  mais ça vaut déjà son pesant de cacahuètes. La religion est légèrement écornée, légèrement... Sympathiques petits meurtres à la pelle aussi...
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16 décembre 2007 7 16 /12 /décembre /2007 10:56

Archive : Film vu au ciné en Octobre 2005.

Don a toujours été considéré comme un Don Juan. Au fil des années, il a cumulé les conquêtes... mais il est resté célibataire et sans enfant.

D'ailleurs, sa dernière conquête vient juste de faire ses valises. Il reste là, seul... avec pour seule compagnie sa télé et sa chaîne hifi.

Heureusement, il y a quand même son voisin Winston, sa femme et ses enfants, chez lesquels il est toujours accueilli les bras grand ouvert, et où ses connaissances en informatiques sont toujours bienvenues.

Et puis, il y a cette lettre rose à l'adresse manuscrite au stylo rouge. Elle contient un papier rose sur lequel est tapé un texte à la machine à écrire en rouge. Elle lui annonce qu'il a eu un fils il y a 20 ans avec l'un de ses conquètes de l'époque. La femme qui lui écrit ainsi anonymement lui apprend que ce fils est probablement parti à sa recherche.

Quand son voisin découvre l'existence de cette lettre, il prend les choses en main pour que Don se bouge les fesses. Il lui programme un itinéraire pour qu'il aille à la rencontre de ses anciennes amies, et devine laquelle lui a écrit... il doit chercher du rose...

Je vous laisse découvrir le reste...

Ce film est toute en langueur, une langueur représentative de la mélancolie qui habite le personnage principal. Mais c'est un film plein de clins d'oeil humoristiques, de situations cocasses, de personnages aussi différents les uns que les autres... Involontairement le bord de mes lèvres est resté bloqué en position haute dans un sourire béa.

Bref, ça m'a beaucoup plu!

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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 15:34
Le père de Daniel et Robert vient de décéder. Leur mère est effondrée, et fait face aussi dignement qu'elle peut.
Aujourd'hui doit avoir lieu l'enterrement. De partout arrivent les proches du défunt. Et de son coté, le cercueil avec les pompes funèbres.
Daniel voit avec appréhension revenir son frère, un auteur reconnu, vivant à New-York et qui lui fait tant d'ombre au sein de la famille.

Ca pourrait être une triste et sombre histoire pleine de sanglots, mais, le ton est donné dès la première scène, quand les pompes funèbres débarquent avec un cercueil qui contient le corps d'un autre homme.

Et à partir de là, tout est permis !
Martha souhaite à cette occasion annoncer à son père qu'elle va se fiancer avec Simon. Mais celui-ci peu avant d'arriver à l'enterrement avale une pillule hallucinogène qui le rend incontrôlable.
Et cerise sur le gâteau, un inconnu de la famille s'est invité à la cérémonie. Il va révéler à Daniel des informations sur son père qui vont faire déraper totalement la cérémonie, si tant est que ça soit nécessaire qu'elle dérape encore plus !
Et j'en passe !
Ouh, ça faisait longtemps que je n'avais pas mis les pieds au ciné pour voir une bonne comédie anglaise, bien iconoclaste comme il faut !
Ce film est un condensé de gaffes, de délires autour d'un enterrement, et j'en ai pleuré de rire.
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17 septembre 2007 1 17 /09 /septembre /2007 11:41
Archive : Film vu au ciné en octobre 2005.

Pour commencer quelques infos:

  • Shane Black est le réalisateur de l'Arme Fatale
  • Son nom apparait dans le titre parce qu'un film s'appelant Kiss Kiss Bang Bang est déjà sorti en France.

J'en viens maintenant au film en lui même. Harry est un petit voleur minable. Il est en train de visiter un magasin de nuit avec un complice lorsque le système d'alarme est déconnecté par un geste malencontreux. Bref, le coup foire et voilà nos deux gus à cavaler comme des lapins, la police à leur trousse. Dans cette fuite éperdue, son complice se fait descendre.

Lui s'en sort car le hasard le mène à entrer dans la salle où se déroule un casting pour un polar. On lui colle le texte entre les pattes, un texte qui colle à la peau de ce qu'il vient de vivre. Il n'a pas beaucoup d'effort à faire, avec une balle dans le bras et son complice étalé dans une ruelle, pour jouer ce rôle car, en fait, il ne joue pas.

Le jury est convaincu par sa prestation et l'engage. Il est invité à une soirée à L.A., et doit y rencontrer un détective privé, Perry, afin que celui-ci le coache pour le préparer à son rôle. Lors de cette soirée, il rencontre aussi une comédienne débutante, Harmony.

A partir de là, tout s'enchaine. Dès le premier soir, le détective et son apprenti se retrouvent avec le cadavre d'une femme sur les bras et deux tueurs aux trousses... Le même cadavre réapparait le lendemain dans la douche de la chambre d'hotel de Harry. En plus, la soeur de Harmony se suicide, mais Harmony pense qu'il s'agit d'un meurtre. Comme Harry s'est fait passer pour un détective auprès d'elle, elle lui demande de l'aide. En plus on découvre qu'Harmony et Harry sont amis d'enfance.

Non, non, non... je raconte n'importe comment là!! C'est plat, c'est linéaire... pas dans l'esprit du film. Il y a de l'action, de l'humour (surtout du noir, du grinçant : on rit de choses horribles mais vu la manière dont c'est présenté on peut pas s'en empècher), un montage original, un rythme parfois effréné, un langage parfois cru ... et ça vire parfois au délire. Il y a plusieurs scènes assez marquantes et un joli pied de nez à la fin.

Et puis, le film est comme un roman policier où le héros est le narrateur, mais pas tout à fait non plus. D'un coté, ça fait penser à certains polars noirs avec le détective à chapeau mou qui fait la narration. En plus, le film est divisé en chapitres, comme un roman, chaque chapitre étant un jour. Mais d'autre part, la narration se permet des petites folies. Le début du film est truffé de retours en arrière : c'est tout mélangé à la façon de Pulp Fiction. On se ballade dans le temps pour poser les bases du film. En plus, le narrateur n'est pas un héros, c'est un antihéros : il s'auto-critique, se permet des blagues ironiques et n'hésite pas à interrompre le film lorsqu'il se rend compte qu'il a oublié de parler du robot.

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18 août 2007 6 18 /08 /août /2007 21:20

Archive : Film vu au ciné en Octobre 2005

Bon, ça date, ok. Mais bon, je remonte dans mes archives...

Cela commence avec un homme lisant un manuscrit. On découvre assez vite qu'il est PDG d'une boite de production de programmes de télé réalité. Il est plein aux as, sa boite marche très bien. Il s'appelle Raphaël.

Le manuscrit a été écrit par un certain Alberto, que le PDG semble connaitre. On comprend que le livre dévoile certaines choses de la vie du PGD qui pourraient salir sa réputation.

Cependant Raphaël insiste auprès de l'éditeur pour que le livre soit publié le plus rapidement possible. Il fournit même une photo que l'éditeur peut, que dis-je, doit utiliser pour en faire la couverture du livre. Elle représente des jeunes tenant une banderole sur laquelle il est question d'une radio NRV.

Le manuscrit semble avoir remué en lui de vieux souvenirs. Il s'en entretient brièvement avec son adjoint de la boite de prod. Il semble lui aussi lié à ce passé.

Raphaël décide alors soudain qu'il va inviter tous ses amis à l'occasion de ses 45 ans. Même ceux de ce passé dont on ne sait pas grand chose, et qu'il n'a pas revu depuis fort longtemps, même cet Alberto sont conviés pour cet anniversaire dans sa villa au Maroc.

Et là bas, la vérité surgit avec de bons et de mauvais souvenirs. On comprend ce qui les unissait, ce qui les sépare aujourd'hui, et le déclencheur de la séparation. Et bien entendu, il y a le présent qui les rattrape.

J'ai bien aimé le principe de la vérité distillée, saupoudrée: on comprend pas à pas par un jeu de piste basé sur quelques phrases.

Cependant, la voie de résolution du conflit me chiffonne. L'idéal du passé est piétiné et la morale en prend un grand coup dans le nez.

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9 juillet 2007 1 09 /07 /juillet /2007 20:51
Les aventures de Shrek le grand méchant orgre vert au coeur tendre et à couches comme l'oignon continuent. Il est toujours accompagné de Fiona, de l'âne et du chat potté.
Shrek pourrait vivre heureux dans son marais avec sa douce mais ayant épousé une princesse, il a désormais des obligations vis à vis de ses beaux parents. Il est donc pressenti pour devenir le futur roi suite au décès du roi... ce qui bien entendu, ne l'enchante guère. Mais pas moyen d'y échapper... à moins que...

Encore une bonne tranche de rigolade et de franche détente à savourer.
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