2 février 2008
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09:00
Ce roman a été publié à l'origine sous le psudonyme de Vernon Sullivan, et il est surprenant de voir Boris Vian préfacer son propre texte en disnat, par exemple qu'il a été refusé
aux Etats-Unis.
Il faut dire que l'auteur n'y va pas de main morte : l'amérique puritaine, blanche, croyante, raciste et bien pensante en prend pour son grade.
Le roman est rédigé à la première personne. Il commence alors que le narrateur arrive à Buckton pour s'occuper d'une librairie pendant l'absence de son gérant. Lee anderson, puisque c'est là son nom, s'ennuie très vite dans ce rôle. Il cherche bien vite d'autres amusements dans cette ville, et ne dit pas non lorsque ces amusements consistent à lutiner dans l'eau avec de jeunes filles.
Un début bien anodin pour un livre qui ne l'est pas. Ce faux-semblant de niaiserie à deux francs six sous, est remis en cause petit à petit par quelques remarques nous faisant sentir que tout n'est pas aussi innocent et limpide. Ce livre n'a pas pour but d'émoustiller les sens du lecteur.
Tout se met en place peu à peu... pour le meilleur et pour le pire.
Il faut dire que l'auteur n'y va pas de main morte : l'amérique puritaine, blanche, croyante, raciste et bien pensante en prend pour son grade.
Le roman est rédigé à la première personne. Il commence alors que le narrateur arrive à Buckton pour s'occuper d'une librairie pendant l'absence de son gérant. Lee anderson, puisque c'est là son nom, s'ennuie très vite dans ce rôle. Il cherche bien vite d'autres amusements dans cette ville, et ne dit pas non lorsque ces amusements consistent à lutiner dans l'eau avec de jeunes filles.
Un début bien anodin pour un livre qui ne l'est pas. Ce faux-semblant de niaiserie à deux francs six sous, est remis en cause petit à petit par quelques remarques nous faisant sentir que tout n'est pas aussi innocent et limpide. Ce livre n'a pas pour but d'émoustiller les sens du lecteur.
Tout se met en place peu à peu... pour le meilleur et pour le pire.