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InTheBlob

ce truc est mon blog.. qui l'eut cru!
il contient :
- des trucs et des n'importe-quoi dans la catégorie En Folie,
- des photos et des dessins dans In Plano
- des articles de lecture dans les différents In Folio
- des amusements littéraires dans In Quarto
- des articles sur la musique dans In Octavo
- des recettes de cuisine dans In Douze (parce que midi, c'est l'heure !)
- des articles de cinéma dans In Seize (Neuvième)
- des articles de science et de fiction dans In Dix-Huit (parce que c'est le format suivant)

Voilà, vous êtes prévenus.

Inthepast

26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 07:16
Dans le cadre des fanes de carottes,

On nous regarde - Partie 2

indiscret
05Indiscret
vidéo surveillance
06Vidéosurveillanceoeil de boeuf
08OeilDeBoeuf


07OeilDeBoeuf












paparazzi
09Paparazziindiscret
10Indiscret

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 07:09
Dans le cadre des fanes de carottes,

On nous regarde - Partie 1

ouvrir les yeux
01OuvrirLesYeuxclin d'oeil
02ClinDOeilcyclope
03Cyclopeoeil rond perché
04OeilRondPerché
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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 07:40
Dans le cadre des enchères photographiques proposées par les fanes de carottes, il fallait proposer des images répondant à différents thèmes.
Voici la cinquième et dernière partie de mes réponses :

17.   Sous le chapeau

(elle galope sous mon chapeau)

 

17SousChapeau2.JPG

 

Autres propositions :

17SousChapeau

 

et

17SousChapeau3

18.   Tirer les ficelles

(au sort)

 

18TirerFicelles

 

19.   Un grand A

(un A-glagla...)

 

19GrandA.JPG

 

20.   Volatil(e)

(pesant)
20Volatile
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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 07:37
Dans le cadre des enchères photographiques proposées par les fanes de carottes, il fallait proposer des images répondant à différents thèmes.
Voici la quatrième partie de mes réponses :

13.   Pataugeoire

(à Porquerolle)

 

13Pataugeoireb

 

14.   Promenons-nous dans les bois

(pendant que les termites n'y sont pas...)

 

14PromenonsBois.JPG

 

15.   Rêver sous les branches

(étendue dans l'herbe)

 

15RêverBranches

 

16.   Robots ménagers

(la robe de la ménagère)

 

16RobotMénager

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 07:32
Dans le cadre des enchères photographiques proposées par les fanes de carottes, il fallait proposer des images répondant à différents thèmes.
Voici la troisième partie de mes réponses :

9.    Le fond et la forme

(que j'ai ramé pour décrocher la glace du compartiment congélateur du frigo...)

 

09FondForme


10.   Le pouvoir des fleurs

(ensorcelé...)
10PouvoirFleur.JPG


11.   Libérez-moi !

(voilà, à trop s'attacher, ce qui arrive)

11LiberezMoi

 

12.   Monstres lacustres

(une chaussette dans un lavabo, vous y croyez ?)

 

12MonstreLacustre

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 07:24
Dans le cadre des enchères photographiques proposées par les fanes de carottes, il fallait proposer des images répondant à différents thèmes.
Voici la deuxième partie de mes réponses :


5.    Des lendemains qui chantent

(la la la - avec la collaboration de Enya, Eels, Eagles, L'herbe folle, Jean-Jacques Goldman, Fat Boy Slim, Eric Clapton, Nicolaï Dunger, Kate Bush, Dead can Dance, Jean-Jacques Goldman - encore-, Eels - encore-, Queen, la BO de Trainspotting (Lou Reed et Blur) et Alpha Jet)

 

05LendemainChante

 

6.    Grain(s) de beauté

(je n'avais pas de poudre de riz)

 

06GrainBeauté

 

Une autre proposition :

 

P1010215.JPG

 

7.    L’un pour l’autre

(kromeugnon)

 

07UnAutre.JPG

 

8.    Là où les grands fauves vont boire

(et là est tout le défi, c'est là que le fauve est grand !)

 

 

08GrandFauves

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12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 07:17
Dans les cadres des enchères photographiques proposées par les fanes de carottes, il fallait proposer des images répondant à différents thèmes.
Voici la première partie de mes réponses :

1.    A quoi ça sert ?

(je me sers volontiers de l'aqua)

01AquaCaSert.JPG

 

2.    Au pays des géants

(je me sens toute petite)

02PaysGéants

 

 

3.    Dans le creux de ma main

(elle ne se laisse pas attraper)

03CreuxMain

 

4.    Déluge

(ok, y'en a qu'une)

04Deluge

 

et une deuxième proposition :

 

04Deluge2.JPG


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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 07:40

Le coin de l'invitée :

Une quête infernale par Shi May Mouty
dix-neuvième (et dernier) épisode


Les diables s’empressèrent donc de mettre en pratique les grasses matinées et les longues siestes pour être bien reposés et de bonne humeur ; les ripailles de mets raffinés, vins exquis, liqueurs et douceurs venues du monde entier ; les séances de dégustation des produits les plus rares ; les longs repas suivis de chants, de karaokés, et même de danses endiablées ; les jeux les plus divers ; les sports pour entretenir leur forme et ne pas s’empâter suite aux repas gargantuesques et autres plaisirs gustatifs ; et bien sûr l’écriture et autres activités artistiques et intellectuelles pour aussi faire travailler leur esprit.

La période d’adaptation fut un peu longue, mais progressivement, ils y arrivèrent. Les démons prirent grand plaisir aux parties de cache-cache dans les insondables et labyrinthiques galeries et grottes de l’enfer. En réalité, le jeu devient progressivement un prétexte pour perdre les plus novices d’entre eux. Il arrivait aussi à certains damnés de se joindre à eux dans ces parties interminables. Les démons trouvaient très drôle d’entendre les novices et les damnés hurler quand ils étaient perdus depuis des heures et commençaient à avoir faim. Ces cris leur rappelaient d’excellents souvenirs. On dit cependant que certains joueurs, dépourvus du sens de l’orientation, errèrent parfois ainsi des années dans les cavernes infernales. Leur nom est inscrit sur une pancarte à l’entrée de l’aire de jeu et de temps en temps, on songe à faire apparaître de la nourriture en divers points des galeries pour ceux qui ne maîtrisent pas la magie nécessaire pour le faire eux-mêmes. Mais n’ayez crainte, ils ont l’éternité pour trouver la sortie…
Du coté du sport, Razibuth connut une grande réussite. Il n’avait pas son pareil pour distraire les autres concurrents grâce à quelques tours dont il était spécialiste : les pluies de sauterelles, de crapauds ou de sangsues. Il abusait aussi des obstacles invisibles surgissant devant ceux qui risquaient de le battre. Mais il prenait garde à ne pas le faire en présence de Lucifer.
Certains diables commencèrent à rédiger leurs mémoires. Ils en avaient des choses à raconter, il faut dire. D’autres écrivaient des livres d’histoire avec une rigueur à faire pâlir les historiens terriens qui devaient, eux, se baser sur le peu qu’il restait de tradition orale ou d’ossements… Depuis les débuts de l’éternité, tant de millénaires s’étaient écoulés. Ils étaient si souvent aux premières loges de certains événements. Plusieurs se mirent en quête d’un éditeur, certains romans devinrent des best-sellers…
Les démons se découvrirent une nouvelle passion : la cuisine. Les immenses chaudrons dans lesquels bouillonnaient éternellement des hectolitres d’huile furent recyclés. Les diables y firent des frites, des chips, des beignets et des chouchous délicieux. Croustillants en surface, moelleux à l’intérieur, tout le monde en raffolait. Un petit commerce commença progressivement à s’établir sur terre avec des vendeurs ambulants sur les plages et près des lieux touristiques. Puis ils s’installèrent dans des boutiques étroites, de plus en plus nombreuses et de moins en moins étroites.
De nombreux jeunes diables y trouvèrent un emploi, dissimulant leur queue velue dans un blue-jeans ample, et leurs pieds fourchus dans des baskets dernier cri. Pas besoin de cacher leurs cornes, car la marque de la chaine de restaurants créé s’appelait « Les Bouches de l’Enfer » et les autres serveurs portaient un maquillage rouge et des petites cornes factices sur le front. Les clients aimaient beaucoup cette touche d’originalité, et allaient parfois jusqu’à demander s’ils pouvaient toucher les cornes de certains diables, les trouvant plus vraies que nature. Ils étaient alors souvent frappés de constater combien le maquillage était bien fait. Il faut dire que les diables rouges étaient tenus de se badigeonner de rouge de sorte qu’il en reste sur les doigts de ce genre de curieux, ainsi que de belles empreintes sur le bord des assiettes.
Des diables à fibre écologique décidèrent de fournir à leurs restaurants des produits bios. Ils convertirent quelques cavernes infernales en serres naturellement chauffées. Ils débutèrent par des cultures qui ne nécessitaient pas de lumière : des champignons de Paris et des endives.
Ce fut une réussite extra-ordinaire. Progressivement ils montèrent des restaurants prodigieux dans les grandes capitales du monde. Ils ne tardèrent pas à avoir des étoiles. Les clients trouvaient à cette cuisine une saveur si particulière qu’ils en redemandaient.
Alors ils s’enhardirent en éclairant les grottes avec des boules de feu reproduisant le spectre lumineux du soleil et commencèrent la production de légumes et de fruits de plus en plus exotiques. Il suffisait d’ailleurs aux plus gradés de faire un claquement de doigt, un froncement de nez ou une brève incantation pour créer de nouvelles variétés. Ils avaient ainsi les moyens de surprendre leurs clients : fraises bleues, oranges noires, tomates à pois multicolores… En plus d’alimenter les restaurants, un commerce sous le label « Brobuth » s’instaura. Les hommes ignorèrent toujours l’origine de ces merveilles de goût et d’originalité.
Les démons s’amusaient ainsi beaucoup et ne s’ennuyaient plus. L’Enfer devenait-il un nouvel Eden ?

A la surface de la Terre, les humains qui n’étaient plus pervertis par les démons écoutaient enfin les conseils de leur ange gardien. Leur vie était plus sage, rangée, et un peu plus ennuyeuse aussi. Ils n’étaient pas encore parfaits, loin de là, mais ils s’étaient améliorés de sorte que quand ils arrivaient au Paradis, ils ne piétinaient plus les autres dans les files d’attente, et il leur arrivait même d’être généreux. Les archanges, anges, angelots, chérubins retrouvèrent le sourire progressivement. Le Paradis redevenait paradisiaque.
Et Dieu dans tout ça ? Dieu n’est pas orgueilleux, il ignore ce péché, mais il faillit tout de même narguer Gabriel en lui disant « Tout s’arrange, je vous l’avais bien dit ». Il ne le dit pas cependant, il avait son rang et sa réputation à tenir. Il se contenta de sourire dans sa barbe.


FIN.

écrite pour les fanes de carottes
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6 août 2010 5 06 /08 /août /2010 07:40

Le coin de l'invitée :

Une quête infernale par Shi May Mouty
dix-huitième épisode


Pendant ce temps, Lucifer et son équipage de démons avaient réintégré l’Enfer… toujours aussi dépeuplé, si ce n’est quelques anciens damnés qui étaient revenus car ils ne supportaient pas le changement brutal qu’avait été le transfert au Paradis. Quelques diables s’occupaient à tour de rôle de les tourmenter. Mais on sentait bien que la motivation n’était plus la même.
Pour passer le temps, Lucifer avait effectué de brèves expéditions sur la planète verte. Il tenait à surveiller les adeptes forcés de sa religion reptilo-satanique. Et surtout il contrôlait les rentrées d’or et de pierreries. C’était aussi l’occasion, par quelques artifices bien maîtrisés, comme des éclairs et du tonnerre, de terroriser davantage les hommes roses un peu cramoisis qui n’avaient pas encore découvert comment se fabriquer de la crème solaire. Il en tirait une jouissance intense qui lui faisait oublier un certain épisode d’un précédent voyage qui s’était révélé délicat pour son amour propre.
Razibuth, qui l’épiait discrètement lors de ces divers voyages, ricanait derrière les poils de son bouc.
Peu à peu, Lucifer avait fini par se lasser. Il avait chargé des démons inférieurs - dont Razibuth - de faire ces voyages. Puis, sur les conseils de Razibuth qui voyait là un moyen de le remercier, Lucifer chargea le petit serpent corail aux yeux d’or, aidé de ses nombreux enfants, de veiller à l’exécution de ses ordres.
Le serpent avait depuis gardé pour leitmotiv « yes, we can ». Il se le répétait en se faufilant partout, ce qui lui permettait de contrôler efficacement les activités des hommes roses. Bien sûr, parmi les riches offrandes déposées pour Lucifer, il effectuait quelques prélèvements discrets. C’est que ça coûte cher, l’éducation des enfants.

Aux Enfers, finis (ou presque) les damnés, finis (ou presque) les voyages. Les démons s’interrogeaient à nouveau sur ce qu’ils allaient bien pouvoir faire. Même sur Terre, ils avaient cessé tout travail. Lucifer avait décrété inutiles bon nombre de leurs activités. Inutile d’inciter les époux à commettre l’adultère. Inutile de susurrer des idées de meurtres aux maris cocufiés ou aux épouses trompées. Inutile de tenter les banquiers, les industriels ou les commerçants pour qu’ils falsifient leurs comptes. Inutile d’encourager les escrocs, voleurs, menteurs… Inutile, inutile, inutile. Toutes les formes de tentation étaient devenues inutiles. Puisque tous les humains allaient, quoiqu’ils fassent, disent ou pensent, au Paradis, en toute logique, il était inutile de perdre son temps avec eux. Commandements de Lucifer, et donc obéissance immédiate, sans condition.
Après l’effervescence des voyages, l’ennui et la morosité s’installaient à nouveau en Enfer. Il n’y avait même plus de musique d’ambiance lancinante, car Lucifer, heureux de son statut de divinité, avait fait arrêter la musique.
Il fallait réagir. Razibuth, toujours inventif grâce aux idées des autres, alla innocemment discuter avec Carmengénino, puis il prit contact avec les démons de la planète rouge. Gros mangeurs, buveurs et paillards, eux savaient s’amuser dans leurs cavernes. Quelques diables extra-terrestres furent alors invités sur terre pour leur enseigner l’art de ne pas s’ennuyer.

Mais ceci est une autre histoire…

écrite pour les fanes de carottes
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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 07:34

Le coin de l'invitée :

Une quête infernale par Shi May Mouty
dix-septième épisode


Gabriel, l’archange, était furieux. Lui, le grand Archange, le lumineux, lui qui avait jadis accompli les missions divines les plus nobles, lui qui avait annoncé à Marie qu’elle allait être mère, lui que des artistes prestigieux avaient représenté dans toute sa splendeur, auréolé d’or, les ailes immenses déployées en une houppelande de neige, lui, le bras droit de Dieu… était désormais rabaissé à un rôle médiocre et épuisant : parcourir sans cesse l’univers situé au-delà des mondes pour découvrir et aménager de nouveaux territoires et agrandir le Paradis.

Il était furieux depuis que Dieu avait décidé, seul, sans le consulter, lui le Resplendissant, d’accueillir tous les hommes au Paradis. Depuis lors, des files interminables d’élus béats piétinaient devant les portes monumentales contrôlées par Saint Pierre.
« Pauvre Pierrot », pensait Gabriel, compatissant. « Tout ce travail à son âge… Pas étonnant qu’il ait des rhumatismes déformants aux doigts et une tendinite au poignet droit à force de tourner les grosses clefs et de pousser les lourdes portes cloutées ».

Il était furieux de recevoir les incessantes récriminations des nouveaux habitants du Paradis. Tous voulaient plus de place, et toujours plus de confort. Les mères rouspétaient : « Où voulez-vous que les enfants jouent ? ». Les couples amoureux soupiraient : « Nous voulons plus d’intimité !» Les victimes hurlaient et se réfugiaient sous les ailes des anges quand elles devaient croiser leur bourreau. Des peuples entiers gémissaient : « Comment peut-on vivre paisiblement à coté de ceux qui sont, sur terre, nos ennemis depuis des générations et des générations ? »
Où se croyaient-ils donc ?

Il faut dire que le processus de reconditionnement des âmes nouvelles afin de les acclimater à leur nouvel environnement et leur permettre d’accepter de croiser des entités appartenant à l’ancien temps de leur existence charnelle sans subir de choc affectif, tout ce processus n’avait plus le temps d’être fait. Les anges chargés de cette tâche n’en pouvaient plus et ne suivaient plus le rythme. Tous se plaignaient : « On a trop de travail, on est débordés », ou « On a les oreilles qui bourdonnent à force d’entendre toutes ces jérémiades », ou bien « Le Paradis était si calme autrefois, on n’y entendait que des chants suaves, des psaumes harmonieux, des cantates célestes ». Certains d’entre eux, déprimés, se laissaient aller à murmurer : « C’est l’Enfer ici ». Ils avaient tous le teint pâli, les yeux cernés, l’auréole de travers. Leurs ailes grisâtres traînaient jusqu’au sol. Ils marchaient le dos voûté. Triste spectacle.

Et pourtant, Gabriel avait fait appel à Michel, l’autre Grand Archange. Il était énergique, combatif, et avait dès réception de son appel quitté son îlot (que lui-même n’osait plus qualifier ni de normand, ni de breton). Mais même en unissant leurs efforts, ils peinaient à maintenir l’ordre et à ramener la sérénité au Paradis.

Preuve que tout allait de travers, les très très vieux Élus, les Bienheureux de la première heure, quelques hommes de Cro-Magnon, se plaignaient. Et pourtant, ils connaissaient le Paradis du tout début, en avaient essuyé les plâtres. Depuis ils avaient subi tant de crises, hérésies diverses, papes, anti-papes, papesses… et bien, ces tueurs de mammouths, ces combattants aguerris d’ours des cavernes, eux aussi venaient le voir et lui disaient : « Ah, de mon temps, ça ne se passait pas comme ça ! On respectait les anciens, on était polis, nous. Pas comme ces nouveaux qui cassent tout et se croient tout permis. Il faut plus de discipline. Quelques coups de massue bien appliqués, et moi qui ai de l’expérience, je vous le dis, tout rentrera dans l’ordre ».

Les archanges avaient souvent envie de se boucher les oreilles.
Et Dieu dans tout ça ?
Dieu, assis sur son trône de gloire, paisible, superbe, voyait tout, entendait tout, mais ne changeait rien à sa décision. Son raisonnement était simple : « Nous vivons une crise, mais elle ne va pas durer. Le Paradis vit une époque de transition. Le cosmos étant infini, chacun y trouvera sa place. L’éternité étant sans fin, nous avons le temps de trouver une solution aux problèmes. Attendons dans la sérénité. » Et une fois ceci énoncé, la discussion était close.

 

Mais ceci est une autre histoire…


écrite pour les fanes de carottes
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